We always come back to America, because it’s necessary, in order to find a sense of centrality, and to free ourselves from certain things. And these things are undeniably related to an American way of life, to American social influences in Europe.
Janis Kounellis, Let's build a cathedral (interviews)
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Created with materials from the office (carbon paper) and from school (poster paint, stencils), this set of works is inspired by (and works as a pastiche of) technical imagery from the post-war years, the kind of thing one sees in school manuals, or in various science magazines designed for a wide audience. In its own way, it deals with the theme of learning, of apprenticeship.

Grouped together under the title Carbon Copies,these three series arose from questions about the concept of control and, by extension, the vanity of control. The figures of the dislocated soldier, the geometry student, or the earnest scientist become actors in a theater of the absurd, fragile symbols of a vain quest for mastery of the world, asking a central question about the limits of control, and about letting go.
Nous en revenons toujours à l'Amérique, parce qu'il est nécessaire, pour trouver une centralité, de se libérer de certaines choses. Et ces choses sont irréfutablement liées au style de vie américain, à l'influence sociale américaine en Europe.
Janis Kounellis, Bâtissons une cathédrale (entretiens)
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Réalisé à l’aide d’un matériel de bureau (papier carbone) et scolaire (gouache, normographe), cet ensemble s’inspire—en la pastichant—de l’imagerie technique des années d’après-guerre, telle qu’on la trouvait dans les manuels d’école ou divers magazines de vulgarisation scientifique. Il développe à sa façon le thème de l’apprentissage.

Rassemblées sous le titre général de Carbon Copies, ces trois séries sont nées d’un questionnement sur l’idée de contrôle, et d’un parti-pris simple, celui de sa vanité. Les figures du soldat désarticulé, de l’apprenti géomètre ou du scientifique bricoleur deviennent les acteurs d’un théâtre de l’absurde, les fragiles symboles d’une vaine quête de maîtrise sur le monde. Ils posent par là la question des limites du contrôle, et celle du lâcher-prise.